La question des heures supplémentaires et de leur fiscalité est au cœur des débats sur le pouvoir d’achat et la valorisation du travail. Si depuis 2019, ces heures bénéficient d’une exonération d’impôt sur le revenu dans la limite de 7 500 € annuels, leur intégration dans le calcul du revenu fiscal de référence (RFR) peut paradoxalement pénaliser les salariés qui choisissent de travailler davantage. Une proposition de loi vise à corriger cette situation.